Serge NICOLO : Le musée Paul-Dupuy et le musée des Augustins n’échappent pas aux turpitudes de notre monde. Les meurtres s’y perpètrent artistiquement avec une perceuse ou un pistolet cloueur.
Patrick NIETO : On ne ramasse pas que des champignons dans la forêt de Bouconne. Une main d’abord, une autre ensuite... Quand s’arrêtera la cueillette ?
Pierre WILLI : Dylie et Lidy sont jumeaux. Les enfants des époux Tarmin, une famille où on ne choisit pas son destin, on le subit. Pas pour longtemps.
Patrick CAUJOLLE : « Tout cela pour y installer une station Vélib et une pataugeoire », s’insurge Monsieur Dedieu, responsable des Espaces Verts, désormais à la retraite. Entêté le vieux jardinier. Allez savoir pourquoi...
Régis TOMÀS : 1944. Libération de Toulouse, le commandant milicien Perget retient Josiane et Albert. Lequel des deux a tué pour dérober un fichier d’agents infiltrés dans la Résistance ? Dans quel but ?
Daniel CONTEL : À Terre Cabade, personne n’a remarqué quoi que ce soit jusqu’au déclenchement des sonneries : six réveils à cloches fabriqués en Chine.
Anne WADDINGTON : Trois morts : une tête arrachée, des dents de crocodile, un corps vidé de son sang au cœur d’une toile d’araignée géante...
Cécile DOUELLE : Mais que peut-il se passer quand on n’apprend rien des leçons de la vie ? Au cœur des cités, il ne fait pas bon se tromper.
G. D. NOGUÈS : Une gâterie dans un train, amour de jeunesse, qui laisse des traces et un sentiment d’inachevé. Un colosse de deux mètres à la mandale facile, un rondouillard frisant le quintal et fumeur de havane...
Jacques LAVERGNE : « Le passé n’est pas mort, il n’est même pas encore passé ». William Faulkner l’avait écrit. Pierre-Paul Riquet, le génial inventeur du canal des Deux Mers nous le prouve une fois encore. Et de quelle manière... !