4e de couverture :
Il s’agit d’un conte poétique.
La petite Anouk est une enfant à part, qui vit intensément tous les instants, et toutes les émotions du quotidien : « Ce qui semblait effleurer les autres, la percutait de plein fouet, comme une tempête. »
Elle est une enfant de l’océan : « C’est lui qui la calmait quand tout allait trop vite trop fort, l’océan la nourrissait, l’apaisait, quand tout autour d’elle la mettait à terre.»
Et la jeune surfeuse improvisée croise une baleine, et le cétacé géant l’emmène dans un voyage extraordinaire.
Et la baleine raconte à l’enfant une leçon de sagesse pleine de douceur, de volonté et de singularité : « Explique leur que c’est lorsque l’on ose être vraiment soi que la magie opère et que tout peut alors exister, sinon les possibles s’éteignent. »